En faisant bouillir le sirop à 21-22 degrés Fahrenheit au-dessus du point d’ébullition, on obtient ce beurre d’érable que vous appréciez tant.
Lors de la transformation de l’eau d’érable, une molécule particulière se forme dans le sirop : le québécol. Cette dernière se retrouve uniquement dans le sirop d’érable (+ sous-produits) et posséderait, selon une équipe de l’Université Laval menée par le chimiste Normand Voyer et le chercheur en médecine dentaire Daniel Grenier, des vertus anti-inflammatoires. Le québécol n’est pas présent en quantité suffisante dans le sirop pour avoir un effet significatif mais une version synthétisée de la molécule pourrait avoir une utilité médicale!
Une raison de plus de célébrer ce produit de chez-nous!